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mercredi 23 juin 2010

Luttes européennes : manifestation à Bruxelles le samedi 26 juin


 
Sent: Tuesday, June 22, 2010 7:59 PM
To: Undisclosed-Recipient:;
Subject: Fw: Luttes européennes : manifestation à Bruxelles le samedi 26 juin

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Grèves générales en Grèce, Italie, France, Espagne: Face à l'austérité généralisée, coordonner la riposte du mouvement ouvrier

Partout en Europe, les capitalistes sont à l'offensive avec la complicité des gouvernements, qu'ils soient de droite ou de « gauche ». Sous prétexte de mesures de « rigueur » budgétaire ou « d'assainissement » des finances publiques afin de respecter le Pacte de stabilité de l'UE – qui vient d'être renforcé avec l'accord de ces mêmes gouvernements des Etats membres - une vague sans précédent d'attaques s'abat contre les salaires, les conditions de travail, les retraites et les services publics. «Le choix est assumé de résoudre la crise globale du capitalisme par un nivellement brutal des populations européennes aux niveaux sociaux du marché mondial. Dit autrement, il s'agit de démanteler les acquis des travailleurs accumulés depuis des décennies de luttes du mouvement ouvrier, pour pouvoir les aligner sur ceux des autres pôles du monde capitaliste.»

La riposte du mouvement ouvrier commence enfin à se dessiner, au travers d'une série de grèves générales qui auront lieu cette semaine. En France, les principaux syndicats appellent à une grève générale ce jeudi 24 juin contre la réforme des retraites. En Italie le syndicat CGIL organise une grève de 24 heures dans le secteur public et de 4 heures dans le privé le vendredi 25 juin contre les mesures d'austérité de Berlusconi. En Grèce, les syndicats appellent pour le 29 juin à la 6e grève générale depuis le début de l'année, en particulier cette fois-ci contre les réformes des pensions et du code du travail.

A l'initiative d'euro-députés de la GUE/NGL, une série de mobilisations aura également lieu dans plusieurs pays cette semaine, en solidarité avec les travailleurs-euses grecs, portugais, italiens et espagnols, dont une manifestation à Bruxelles le samedi 26 juin. La crise institutionnelle, les élections anticipées et les négociations pour composer un nouveau gouvernement font que la Belgique entrera un peu plus tard dans cette valse macabre des plans d'austérité. Mais ce n'est qu'une question de temps. L'UE et le patronat augmentent la pression pour que la formation du nouveau gouvernement se fasse le plus rapidement possible, afin d'entamer sans délai les mesures d'une « rigueur budgétaire » évaluée à 22 milliards par an jusqu'en 2015 par le Bureau du Plan.

Face à ces attaques, qui sont coordonnées à l'échelle européenne, la préparation d'une riposte unitaire et coordonnée à cette échelle également devient donc urgente pour le mouvement ouvrier. Le 29 septembre prochain, à l'occasion du sommet des ministres des finances de l'UE (Ecofin) sous présidence belge, la Confédération européenne des syndicats (CES) organise une euro-manifestation dans les rues de Bruxelles. La FGTB et la CSC mobiliseront pour cette échéance. Les syndicats espagnols appellent à une grève générale dans leur pays à cette occasion. Le 29 septembre pourrait et devrait ainsi constituer le coup d'envoi d'une vaste contre-offensive coordonnée à l'échelle du continent: vers une grève générale européenne. (LCR-Web)

Union européenne: austérité généralisée

Sous la menace d'une baisse de la note des agences de notation concernant la capacité des États à rembourser leurs dettes, les gouvernements annoncent des coupes claires sans précédent dans les dépenses publiques.

En Grèce, le gouvernement « socialiste » du PASOK, sous la houlette du FMI et de l'UE, a mené l'attaque contre les services publics de santé et d'éducation, la baisse puis le gel des salaires des fonctionnaires, la «simplification» des licenciements dans le privé et l'augmentation de la TVA qui frappe principalement les couches populaires. Et, pour faire bonne mesure, une réforme des pensions et une nouvelle vague de privatisations.

Au Portugal, un premier plan d'austérité organisait la diminution du nombre de fonctionnaires, le gel de leurs salaires et le plafonnement de certaines prestations sociales. Un second plan vient d'être annoncé, axé sur l'augmentation de l'impôt sur le revenu et le relèvement de la TVA.

En Espagne, le gouvernement « socialiste » de Zapatero, a lancé un plan d'austérité draconien de 50 milliards d'euros d'ici fin 2013. Les salaires des fonctionnaires, selon le niveau, seront abaissés de 5 à 15%, puis gelés les années suivantes et 13.000 postes seront supprimés. La revalorisation des pensions est également gelée et diverses primes sont supprimées, une réforme du code du travail vise à étendre la précarité, à faciliter les licenciements et à fragiliser les conventions collectives du travail. L'allongement de l'âge de la retraite est également prévue.

En Grande-Bretagne, le nouveau gouvernement conservateur, allié aux libéraux-démocrates, n'a pas tardé à mettre en place la promesse électorale d'un énorme plan de réductions budgétaires visant à rassurer les financiers de la City. Les 7,2 milliards d'euros d'économies vont se traduire par la suppression de milliers d'emplois publics. L'aide donnée pour chaque nouveau-né est supprimée, les crédits aux collectivités territoriales, aux provinces autonomes (Écosse, Pays de Galles, Irlande du Nord) et aux universités sont réduits. Et ce n'est qu'un début, car ces mesures ne représentent que 4% d'un déficit de 12% du PIB et des mesures plus drastiques sont prévues fin juin et à l'automne, dont l'augmentation probable de la TVA

La chancelière allemande a présenté un plan d'économies de 80 milliards d'euros en quatre ans qui sert aussi à faire pression sur les autres États pour qu'ils suivent la même voie. La prime versée aux salariés les plus modestes pour faire face aux coûts du chauffage est également supprimée. Les fonctionnaires sont aussi touchés avec la suppression de 10.000 postes et le gel de la prime de Noël.

En Roumanie, les injonctions du FMI se traduiront par une baisse de 25% des salaires dans la fonction publique et une diminution de 15% des retraites et des allocations chômage. Le gouvernement Berlusconi a annoncé 24 milliards d'économies sur la période 2011-2012. Le 1er Ministre français François Fillon suit le mouvement en prônant 100 milliards de réduction du déficit public (50 milliards de réduction de dépenses et 50 milliards de nouvelles recettes) d'ici 2013.

Leçons d'une crise...

La crise actuelle agit comme un révélateur impitoyable et constitue une véritable «leçon de choses».

Première leçon: alors que banques et multinationales sont responsables de la crise financière, les États ont massivement volé à leur secours, sans contrepartie et avec l'argent des contribuables.

Deuxième leçon: le crime (économique) paie. Renforcés par ce véritable détournement de fonds publics, spéculateurs et «marchés financiers» s'attaquent maintenant aux États les plus affaiblis et exigent de véritables plans de régression sociale.

Troisième leçon: les principaux États européens finissent par décider un plan «d'aide à la Grèce» qui vise, en fait, à garantir le remboursement des emprunts accordés par les banques européennes. En contrepartie, c'est l'austérité pour le peuple grec. Mais pas question de rogner sur le budget militaire grec: il faut bien que les entreprises d'armement, notamment françaises, continuent leur business!

Quatrième leçon: rien ne peut étancher durablement la soif de profit. Après une brève montée, les Bourses baissent à nouveau, «justifiant» un nouveau tour de vis contre les dépenses publiques.

Cinquième leçon: on ne se méfie jamais assez de l'avis des peuples. Ainsi a surgi la proposition hallucinante de la Commission européenne: contrôler les budgets des différents États avant leur vote par les Parlements nationaux! Rarement les maîtres de l'Europe capitaliste auront signifié aussi crûment le mépris dans lequel ils tiennent assemblées élues et autres vestiges démocratiques.

Sixième leçon: pour porter ses mauvais coups, le système peut toujours compter sur le dévouement des dirigeants sociaux-démocrates. En Grèce, au Portugal et en Espagne, ce sont des gouvernements «socialistes» qui mettent en œuvre l'austérité exigée par l'Union européenne et le FMI, dirigé par le «socialiste» Strauss-Kahn.

Septième leçon: loin de jouer un rôle de solidarité et de protection, l'Union européenne et le FMI sont bien les machines de guerre contre les travailleurs et les peuples que dénoncent les anticapitalistes. L'ampleur de la crise comme la brutalité des attaques et leur dimension au moins continentale exigent évidemment des réponses à l'échelle de l'Europe.

Nivellement brutal

De l'Espagne à l'Irlande, de la Roumanie au Royaume-Uni, tous les pays entrent donc dans la même danse macabre. Il n'y a donc pas qu'une crise grecque comme annoncée par certains commentateurs, ni même un problème qui ne toucherait que les fameux PIGS – selon l'acronyme infamant utilisé par les marchés financiers pour cibler le Portugal, l'Irlande, la Grèce et l'Espagne – mais bien une crise financière et politique qui touche l'ensemble de l'Union Européenne (UE) et l'euro.

S'ils sont appliqués, ces plans d'austérité auront des effets sociaux et politiques dévastateurs: diminution ou blocage des salaires des fonctionnaires, baisses massives dans les dépenses publiques comme par exemple l'Éducation. Elles se traduiront par une baisse du pouvoir d'achat, une augmentation du chômage, une réduction accentuée du périmètre d'intervention des services publics ou de nouveaux reculs dans le remboursement des soins. D'ores et déjà les plans grecs et roumains sont sans précédent dans leur coût social depuis la dépression économique des années 1930.

Ces nouvelles purges démultiplient le mouvement de démantèlement de l'«État social» entamé depuis près de 30 ans. Désormais, c'est le cœur des acquis sociaux du XXe siècle, comme le système de retraites, qui est dans le collimateur du capitalisme.

Fin 2008, les bonimenteurs qui nous gouvernent avaient annoncé la fin du capitalisme sauvage, des marchés tout-puissants, des déréglementations qui avaient permis l'éclatement de la crise bancaire et financière. Dans un discours à Toulon, Sarkozy s'était particulièrement illustré dans cet exercice visant à annoncer «que tout change pour que rien ne change».

Un an et demi après, les marchés sauvés par l'intervention massive des États font de nouveau la loi et dictent à leurs «sauveurs» leur politique économique. Ayant accentué leurs dettes pour sauver les banques, les États sont désormais contraints de se désendetter. Les structures libérales qui permettent, par la libre circulation des capitaux dans l'UE et dans le marché mondial, la mise en concurrence des systèmes sociaux et fiscaux sont toujours en place.

Le modèle basé sur une généralisation de la concurrence est en crise. La monnaie, construite sur seize États aux politiques et aux réalités économiques divergentes également. Face au déplacement du centre de gravité du capitalisme vers l'Asie, la montée des pays émergents, l'UE apparaît comme le maillon faible des centres du monde capitaliste. Le rôle dévolu aujourd'hui au FMI en Europe, alors qu'il sévissait auparavant essentiellement dans le tiers monde, est révélateur de la crise.

Le choix est assumé de résoudre cette crise par un nivellement brutal des populations européennes aux niveaux sociaux du marché mondial. Dit autrement, il s'agit de démanteler les acquis des travailleurs accumulés depuis des décennies de luttes du mouvement ouvrier, pour pouvoir les aligner sur ceux des autres pôles du monde capitaliste.

On le voit, il s'agit d'un choix lourd de conséquences qui implique de comprendre les enjeux de la crise afin d'organiser à l'échelle européenne la résistance et la construction d'une alternative anticapitaliste et antiproductiviste socialiste.

D'après des articles de Pierre-François Grond et François Coustal (NPA)

 

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vendredi 18 juin 2010

La lettre d'information du site % ATTAC - Bruxelles 1 %

 

 
 

 

Sent: Friday, June 18, 2010 8:47 AM
To:
Subject: La lettre d'information du site % ATTAC - Bruxelles 1 %

Formation : "La banque" par Marco van Hees

Quel est le rôle des banques dans l'économie ?
Que font-elles vraiment ?
Sont-elles suffisamment encadrées par les pouvoirs publics ?
Et si on ouvrait des banques publiques ?

Toutes ces questions et bien d'autres trouveront une réponse lors de la formation mensuelle d'Attac Bruxelles 1,
mardi 22 juin à partir de 19.30, à l'Espace Marx
rue Rouppe 4 à Bruxelles

La formation sera donnée par Marco Van Hees de la CGSP (Centrale Générale des Services Publics), militant du PTB et auteur du livre "Banques qui pillent, banques qui pleurent".

Elle est ouverte à toutes et tous et gratuite. Nous demandons seulement de vous inscrire avant le lundi 21 juin chez Caroline : caroline_gourmet@hotmail.com

Si vous souhaitez ne plus recevoir cette lettre d'information, cliquez sur : Se désinscrire.

Editeur : % ATTAC - Bruxelles 1 %
http://www.bxl.attac.be/spip

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www.jevotecontre.be

Pour en savoir un peu plus, n'hésitez pas à cliquer sur mes liens et/ou à vous inscrire volontairement ... 

samedi 12 juin 2010

dès ce jeudi 10 juin 2010, n'oublions pas de cliquer sur ces liens du Ptb et de son hebdo "Solidaire" ...

 
 
 

 BELGIQUE: dès ce jeudi 10 juin 2010, n'oublions pas de cliquer sur ces liens du Ptb et de son hebdo "Solidaire"
 
 
 
Cette semaine:  13 juin : réveillez-les ! 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

13 juin : réveillez-les !

N'ont-ils pas encore compris ? La campagne ressemble comme deux gouttes d'eau au blocage que connaît le pays depuis trois ans. « La faute aux Flamands ! » « Non, la faute aux francophones ! » Et l'après 13 juin ne s'annonce pas mieux. Pire, même.

David Pestieau

Un véritable représentant du peuple est nécessaire à la Chambre qui remette les propositions de gauche à l'agenda politique. Et pour que cette voix du PTB+ retentisse, elle aura besoin de vous, de vos amis, vos connaissances, de votre famille. (Photo Antonio Gomez Garcia)

Les marchés financiers, un mot poli pour les spéculateurs, annoncent qu'ils pourraient s'en prendre bientôt à la Belgique : à cause de la dette de l'Etat, à cause du lien entre les banques belges et les pays de l'Europe de l'Est au bord de la banqueroute… Mais surtout à cause du risque d'une longue impasse politique.

« Le 13 juin, il est temps de réveiller le petit monde politique », avance le PTB+ dans son nouveau dépliant, sorti pour les derniers jours de cette campagne.

Une véritable voix de contestation est plus que nécessaire au Parlement. Une voix qui porte les attentes des gens face à la crise.

Pas une voix faussement critique comme la N-VA au Nord ou le Parti Populaire au Sud. Ces partis veulent, comme les autres, supprimer la prépension et faire porter au monde du travail le poids des restrictions à venir. Ils n'ont pas une autre politique. Ils veulent juste faire la même politique, mais en plus fort et plus rapidement.

Déjà aujourd'hui, alors que nous ne sommes pas encore représentés au Parlement, on reprend nos idées.

Un véritable représentant du peuple, qui remette les propositions de gauche à l'agenda politique, est nécessaire à la Chambre. Déjà aujourd'hui, alors que nous ne sommes pas encore représentés au Parlement, on reprend nos idées.

Le PTB+ a lancé une campagne pour une taxe des millionnaires et, neuf mois plus tard, les socialistes et les verts, du Sud comme du Nord du pays, reprennent à leur compte cette proposition. Leur copie est certes déformée, nous sommes bien sûr en campagne électorale, mais tout de même ! Le travail du PTB+ les amène à prendre position sur des thèmes à gauche. Comme avec le  modèle kiwi pour diminuer le prix des médicaments ou avec l'idée de s'en prendre aux surprofits d'Electrabel et aux intérêts notionnels.

C'est quand même mieux que lorsqu' ils se mettent à la remorque des idées de la droite. Mais qu'est-ce ce sera alors quand il y aura un élu PTB+ comme Raoul Hedebouw ou Peter Mertens ?

La voix du PTB+, c'est aussi une voix pour l'unité et qui dit la même chose dans les deux langues du pays. Et qui ne plie ni devant le nationalisme flamand, ni devant le front des francophones.

Une voix qui peut porter les revendications communes des gens de terrain, des infirmières aux caissières de Carrefour, en passant par les ouvriers d'AB InBev. Contre celles des multinationales multilingues qui dominent la Belgique.

Le 13 juin est un bon jour pour renoncer aux partis traditionnels et à leur politique de restrictions budgétaires et de disputes communautaires sans fin. Se faire mal inutilement n'est vraiment pas nécessaire.

Une voix du PTB+ au Parlement est cruciale. Mais pour qu'elle retentisse, elle aura besoin de vous, de vos amis, de vos connaissances, de votre famille. Pour qu'elle grandisse et donne un signal fort face à ces crises politique et économique sans précédent

 
 
 

Lettres Solidaire 23

 

 

Nationaliser les banques

Bravo à David Pestieau pour son excellent article « Crise de l'Euro: un autre traitement est-il possible ? » et les 5 alternatives qu'il propose. Notamment, nationaliser le secteur bancaire. Cette mesure pour nécessaire et urgente, qu'elle soit, est cependant insuffisante. Un parti réellement de gauche comme le PTB+ ne doit pas oublier un problème brûlant et faisant régulièrement la une des médias bien pensants qui ressassent l'éternelle rengaine du « coût du travail excessif » et culpabilisent les travailleurs responsables des dettes publiques abyssales. Et les partis traditionnels inféodés à la Haute Finance et liés par les Traités européens n'ont d'autres solutions que de régler ce problème sur le dos des travailleurs et des citoyens qu'ils tentent de culpabiliser un peu plus chaque jour.

Maurice Fabrot, Délégué SETCa (secteur bancaire)

Date importante

Le 13 juin est une date importante pas parce que je suis né ce jour-là mais bien parce que l'avenir de notre pays est en jeu. Les quatre dits grand partis ont suffisamment montré leur incompétence. Aussi bien au nord qu'au sud, les partis linguistiques, qui n'ont pour exister que de monter une communauté contre l'autre et aucun programme économique, ont montré qu'il faut un changement et qu'un vote de protestation s'impose. Tous ensemble pour l'avenir de nos jeunes.

F.A.Anton, Bruxelles

Peur du PTB ?

Je regarde souvent RTL et hier j'étais étonnée de voir le soir un document sur Staline et dimanche prochain sur Castro. Je pense que cette chaîne essaye de faire peur aux gens. RTL va essayer de faire passer la gauche comme extrême gauche. Le PTB a réellement des chances de récolter des voix vu la manière dont les médias vous « évitent » et je souhaite de tout coeur que les 4 « gros » n'aient plus rien.

Marina Vandervecken

Génial, le moustique

J'ai beaucoup apprécié votre analyse à propos du PS et d'Ecolo, qui remettait à jour ce qui m'avait échappé au fil des mois et des ans, mais aussi ce que j'ignorais par absence d'infos politiques dans les médias wallons (ce n'est ni La Meuse, ni la DH qui en apporteront). Des grand-messes télévisées ne mettent sur la table que « je » ou « mon parti » a fait… (que du +++). Leurs contradictions sont systématiquement occultées par absence d'analyses rétrospectives, les intervieweurs se chargent uniquement de donner la parole, point. Le citoyen lambda qui n'a pas une culture politique (il y a de quoi) - ou celui qui le voudrait mais n'a pas de presse adéquate – se dirige vers un vote contestataire (avec les dérives d'extrême droite) ou répétitif par lassitude ou désintérêt. Cela fait le jeu des élus puisque leurs tartuferies sont occultées.

Mais vous avez fait du bon travail. Bravo. « Monsieur moustique » est génial, une valeur sûre ! Sa taille lui permet certes d'avoir de la hauteur, mais son charisme, son humour (enfin !! les autres sont si chiants) et ses argument pertinents lui donneront à terme la propulsion du PTB. Je vous le souhaite.

Michèle Masy, Seraing

Après « Mise au Point »

Réactions au débat entre « petits » et « grands » partis le 23 mai sur la RTBF

J'entends enfin une personne intelligente et sensée s'exprimer et être réellement capable, comme Raoul le dit si bien, de venir piquer les gros partis au pouvoir avant qu'ils n'achèvent notre beau pays. Félicitation au PTB que je vais rejoindre pour leur permettre d'augmenter leurs voix. Bonne chance pour le 13 juin

Didier Bastin, Nimy

Proficiat, le débat sur la RTBF était très bien. Une belle percée pour le PTB+ en Wallonie. N'oubliez pas à l'occasion de faire savoir à la presse francophone que du côté néerlandophone le parti est écarté de la plupart des débats télévisés et des articles de fond dans la presse écrite. Si ça ce n'est pas un virage à droite… Encore bravo

Patrick Dewals, un lecteur néerlandophone

Bravo, agir là où il faut. Raoul exprime clairement mon opinion et celle du citoyen que je suis. Ça fait vraiment plaisir à entendre, enfin un parti qui exprime ce que j'ai sur le cœur. C'est décidé, j'y adhère à 100 %.

David

J'ai 54 ans et votre raisonnement est très juste. Je n'ai jamais chômé de ma vie. Idée : faire travailler les jeunes et nous les anciens leur apprendre notre savoir quelques heures semaine en entreprise. Pour rester un peu dans l'activité, mais plus détendu. Je verrais bien un système avec des chèques comme les titres services. A méditer, non ?

Bruno Boutay, Liège

J'ai été fort satisfait de la prestation de M. Hedebouw qui, tout en proposant un programme très sérieux, a su, je pense, séduire par son humour et par sa décontraction. Ce n'était pas le cas de M. Gendebien qui assène le même discours depuis trente ans sur le ton du catastrophisme et dans une optique panrépublicaine. De même, j'ai été assez déçu de la prestation de la représentante du Front des Gauches qui, selon moi, était trop idéaliste. Enfin, M. Modrikamen a aussi très bien parlé, mais il était sur une autre planète. Bravo Raoul ! Pour la première fois, je ne voterai pas pour un grand parti !

Alexandre Duchateau, Louvain-la-Neuve

Israël à l'OCDE

Je suis choqué et indigné par l'intégration d'Israël à l'OCDE (prévue pour le 27 mai à Paris, ndlr). Je tiens à souligner qu'Israël est un Etat qui s'est mis hors la loi à de nombreux titres : l'occupation et la colonisation illégales de territoires palestiniens depuis 1967 ; des crimes de guerre, au Liban et à Gaza notamment, ainsi que l'indique le rapport Goldstone voté par l'Assemblée Générale des Nations Unies.

L'entrée d'Israël à l'OCDE reviendrait au blanchiment de toutes ces violations par les Etats membres de l'OCDE. Mais plus grave encore peut-être, l'OCDE, organisation de développement et de coopération économique, en définissant un « territoire économique israélien » qui inclut le Golan syrien occupé, les territoires palestiniens de Cisjordanie occupés, et Jérusalem Est illégalement annexée, prend l'extraordinaire responsabilité, hors de son champ de compétence, d'entériner les annexions pures et simples d'Israël, et de prédéterminer les frontières politiques d'Israël contre toutes les règles et les normes de la législation internationale. La participation d'Israël à l'OCDE, soutenue par la Belgique, est choquante, elle trahit les valeurs universelles de paix et de justice dans lesquelles l'Union européenne s'est fondée.

Il faut que les partis politiques démocratiques prennent leurs responsabilités. Le PTB est-il favorable à l'entrée d'Israël à l'OCDE ? Ou êtes-vous plutôt favorable à la campagne d'Appel au Boycott, Désinvestissement et Sanctions à l'égard d'Israël ?

Thierry Vanbrabant , Liers

Le non marchand résiste

Il ne faut pas lacher prise ! Il faut se mobiliser en force et tenir bon jusqu'à satisfaction !!! Que les politiques sachent que le non-marchand ne se laisse pas marcher sur les pieds et sait résister également. Rendez-vous en masse le 8 juin à Bruxelles.

Latifa

Sur www.jevotecontre.be vous pouvez dire pourquoi le 13 juin vous voterez contre ce cirque politique. Extraits

Jusqu'à ce que je crève

Je vote contre parce que j'ai commencé à travailler à 14 ans et je dois constater aujourd'hui, à 50 ans, que je vais devoir travailler jusqu'à ce que je crève. Faisons plutôt en sorte de donner du travail aux jeunes au lieu de viser les plus âgés.

Jeu ridicule

Je vote contre parce que je trouve que ce jeu ridicule a assez duré. Ils cherchent frénétiquement des solutions, mais loin, très loin, de leur propre portefeuille. Je suis aide familiale et je vois chaque jour la misère des gens. Il est temps que ça change !

Qu'ils se serrent eux-mêmes la ceinture !

Je trouve ridicule que les partis politiques se disputent entre eux sans tenir compte de la population. Nous, les Flamands, nous n'avons absolument rien contre les francophones et nous sommes les bienvenus dans les Ardennes. Et les francophones sont les bienvenus en Flandre. BHV c'est ridicule: la Belgique est un pays, et un pays bilingue. Point. Promettre beaucoup et donner très peu, c'est ça la politique. Ils savent très bien remplir leurs poches, mais ils sont incapables d'aider le travailleur ou le pensionné. Pourquoi tant de ministres, avec un si gros revenus ? Qu'ils commencent par se serrer la ceinture eux-mêmes !

 
 
 
 
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jeudi 10 juin 2010

Le Canard Enchaîné : A Kosovo-l'eau

 

Sent: Thursday, June 10, 2010 9:47 PM
Subject: [romain : paix_socialisme_communisme] Le Canard Enchaîné : A Kosovo-l'eau

 

Note de RoRo: ce qu'il est loin déjà le temps où les ricano-otano-occidentaux (c' était en 1979!) déclenchaient leur sale guerre d' agression contre la SERBIE afin de venir en aide au peuple kosovar, victime de "l'épuration ethnique", et aux terroristes de l' Uck.
A l'époque des collectes (vous vous souvenez encore ???) furent organisées dans les pays capitalistes occidentaux auprès des populations, conditionnées par la propagande des gouvernants et des médias. Des centaines de millions d'euros furent collectés...
Aujourd'hui, les Kosovars comme les autres se voient expulsés sans aucun ménagement, ni pitié... Le temps de la propagande de guerre et des hypocrites est révolu...
RoRo
 

From: RESF
Sent: Thursday, June 10, 2010 9:35 PM
Subject: Le Canard Enchaîné : A Kosovo-l'eau


UNE prouesse sur toute la ligne, cette expulsion d'un enfant kosovar gravement malade, le 3 mai dernier. Une débauche de moyens pour coller aux statistiques des expulsions et un entêtement qui force l'admiration. Récapitulons. Le 3 mai, 30 gendarmes déboulent ventre à terre aux Jonquilles, un hôpital de jour de Freyming-Merlebach (Moselle), pour embarquer le jeune Ardy, 15 ans, polyhandicapé par une grave épilepsie. Un avion Beechkraft de dix places l'un des deux avions spécialement (...)
 

A Kosovo-l'eau

 

UNE prouesse sur toute la ligne, cette expulsion d'un enfant kosovar gravement malade, le 3 mai dernier. Une débauche de moyens pour coller aux statistiques des expulsions et un entêtement qui force l'admiration. Récapitulons. Le 3 mai, 30 gendarmes déboulent ventre à terre aux Jonquilles, un hôpital de jour de Freyming-Merlebach (Moselle), pour embarquer le jeune Ardy, 15 ans, polyhandicapé par une grave épilepsie. Un avion Beechkraft de dix places l'un des deux avions spécialement affectés au ministère de l'Immigration et à ses expulsions - est affrété pour renvoyer Ardy, ses parents, son frère et sa soeur. Décollage immédiat pour Pristina. Hurlements de l'Association des paralysés de France et des médecins qui soignent l'enfant depuis son arrivée en France : son état est grave, et pas stabilisé.

Un mois plus tard, Ardy décline. Et s'il décédait ? La tuile ! Pour se couvrir, le zélé préfet de Moselle a trouvé la solution : il a envoyé le 2 juin une équipe médicale à Pristina ! Un médecin réanimateur, une pharmacienne et un médecin-chef des pompiers, spécialement dépêchés pour prendre des nouvelles du gamin. Epatant ! On attend avec impatience la facture totale de cette brillante odyssée...

Le médecin de l'Agence régionale de la Santé avait pourtant donné son feu vert à l'expulsion avec une touchante application: il a rendu son avis sur dossier sans examiner l'enfant ni rencontrer l'équipe qui le suivait depuis deux ans. Le préfet, lui, jurait qu'Ardy pouvait être soigné au Kosovo : « Toutes les précautions ont été prises. »

Total: depuis un mois, l'adolescent a fait de « grosses convulsions », rapporte l'équipe médicale envoyée sur place. Aujourd'hui, il fait encore « des petites crises » et marche « quelques pas ». Formidable. Sauf qu'avant son départ « il ne convulsait plus du tout et marchait une heure par jour », rapporte la pédiatre Isabelle Kieffer, qui le suivait depuis deux ans. L'un des anti-épileptiques dont a besoin l'enfant coûte 300 euros la boîte à Pristina, et il en faut plusieurs boîtes par mois. Dans sa grande bonté, la préf vient de lui expédier deux mois et demi de traitement. Mais pas question, pour le moment, de faire revenir l'enfant...

Il y a quinze jours, après une grosse convulsion, il a fallu hospitaliser Ardy à Pristina, à 70 kilomètres de chez lui. L'ambulance était en panne. C'est le collectif qui défend la famille en France qui a appelé la police locale pour qu'elle l'emmène. Comme dit le préfet, « toutes les précautions ont été prises... »

I.B.

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mardi 1 juin 2010

BELGIQUE: Le PTB+ lance le billet de 3.887 euros

 
 

Sent: Saturday, May 29, 2010 3:03 PM
To:
Subject: Fw: [LG 1 DM] Le PTB+ lance le billet de 3.887 euros

 

 

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Communique de presse
27 mai 2010

Le PTB+ lance le billet de 3.887 euros

« Désirez-vous payer, d'ici peu, 3.887 euros pour sauver les banques ? » demande le PTB+ qui lance une action Internet dans laquelle il diffuse un tout nouveau billet de 3.887 euros émis par la Banque centrale européenne.

Le Bureau du Plan a annoncé la semaine passée que 42 milliards d'euros devrait être économisé dans le budget de l'Etat pour réduire le déficit de l'Etat qui a grandi avec la crise. 42 milliards, c'est 3887 euros par Belge, bébé compris.

« C'est le montant que chaque Belge va devoir débourser pour payer la crise si on garde les partis en place au pouvoir. Les banquiers ont été sauvés et nous, on reçoit la facture. Les grands partis veulent aujourd'hui la voix des citoyens, et demain leur argent. Car ils n'ont pas vraiment l'intention de toucher aux grands fortunés qui, eux, continuent à s'enrichir. » déclare Raoul Hedebouw, porte-parole du PTB+, qui avait brandi ce billet lors de l'émission Mise au Point dimanche dernier.

Ludwig Verduyn, dans une étude actualisée et publiée ce mercredi dans Le Soir Magazine sur l'état des plus 50 grandes fortunes, montre que les plus riches se sont enrichis.

Une taxe sur 30 familles mettrait tous les allocataires sociaux au-dessus du seuil de pauvreté

Le PTB+ avance comme revendication phare de son programme que la facture de la crise doit être payée par ceux qui ont provoqué la crise : les banquiers irresponsables, les spéculateurs et les millionnaires.

« Notre projet d'une taxe des millionnaires rapportera chaque année 8 milliards d'euros. Elle est progressive, partant de 1% au-dessus d'un million d'euros de fortunes, puis de 2% au-dessus de 2 millions et 3% au-dessus de 3 millions. Si on applique cette taxe aux 30 familles les plus riches, cette taxe rapporterait déjà 1,25 milliard soit le montant nécessaire pour que toutes les allocations sociales (pensions, chômage, invalidité) soient revalorisées et dépassent enfin le seuil de pauvreté. » précise Raoul Hedebouw.

« La taxe ne touche pas 98% de la population et reste modeste par rapport aux grandes fortunes. Imaginez qu'on superpose avec des billets de banque de 50 euros, ce que représente la plus grande fortune actuelle, celle des familles De Spoelberch, de Mévius et Van Damme : ce serait une montagne de 27680 m de hauteur. Plus de trois l'Everest ! Et bien notre taxe ne représente qu'une diminution de 800 m de la hauteur cette montagne. Or quand on sait que cette montagne a augmenté de 5700 m (3,6 milliards d'euros) rien qu'en un an, on se rend compte que cet effort demandé à ces familles est plus que modeste. »

« Le PTB+ appelle un maximum de citoyens à partager ce billet de banque de 3.887 euros sur Facebook : suivre ce lien » conclut le porte-parole du parti de gauche.

Service de presse du PTB+

www.ptb.be

Raoul Hedebouw,

Porte-parole du PTB+

0477986510

 

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